Sortie de la discothèque

- Je veux que tu saches, peu importe ce qui se passera, tu pourras me faire confiance en tout temps, je veux que tout les deux on se disent tous. Même si certaine chose sont difficile. Mais du moins, ne crois-tu pas que parler nous fera grand bien ? Même si on aimerait tout deux éviter d'en parler ?

Je tourna ma tête, ma frange cachant presque tous mes deux yeux et la regardant.

- Je suis d'accord. Et je te fais confiance , n'en doutes jamais.

- Alors, tu veux qu'on en parle.... maintenant ?

Je la regardais en attendant sa réponse.

- Bah, pourquoi pas? vu qu'on est dans le sujet ..

Je ramena mes jambes à mon corps puis la regarda avec beaucoup de tendresse.

- Je te laisse débuter, je t'écoute. Après tout, on garde le plus tragique pour la fin.

Je lui souris.

- Si tu crois que c'est moin tragique.. Bref je début. Alors..

Je pris une grande respiration et fini par dire :

- Quand j'étais jeune, mes parents se disputait toujours. À cause de quoi? De moi. Mon père trouvait toujours quelque chose a me reprocher et ma mère me défendais. Mon père finissait toujours par se facher contre ma mère et il la frappais. C'étais toujours comme ça. Un jour sans le voiloir , mon père tua ma mère. Il se sentait tellement coupable qu'il s'enleva la vie.. À toute les fois que mes parents se disputait j'allais me réfugier dans ma chambre ou au bord de la rivière ,pour pleuré. Après la mort de mes parents, on ma envoyé vivre chez mon oncle. Ah, j'avais un frère aussi.. Mais je ne l'ais pas revu depuis.. Je ne sais même pas à quoi il ressemble. Il n'y a pas si longtemps, mon oncle a vu les pouvoirs que j'avais. Alors, il ma envoyé ici...

J'avais recommencé à pleuré.

Je passa encore ma main dans son dos.

- Au moins, ça n'a pas été toi qui a reçu tous ces coups. Tu m'as demandés, qu'étais-ce les cicatrices sur mon bras. Je vais te le dire c'est quoi. Mes parents me détestaient, mon père me battait, il me menaçait et tout. Chaque fois qu'il passait une mauvaise journée, il me disait que c'était à cause de moi et que ma naissance a été une erreur, il me frappait. Des fois, j'avais le droit à me faire couper la peau avec de la vitre. Ma mère ne me nourrissait pas, elle ne prenait pas en compte mon existance. Un jour, mon père a essayé de me noyer dans mon bain. J'ai eu de la chance d'avoir survécu. J'ai vécu un an après ça encore dans ces coups. Ils m'ont fait dormir souvent dehors au froid durant l'hiver. Quand je m'enfuyais, je savais que en revenant chez moi, j'aurai le droit à me faire battre toute la nuit. Je me suis enfuis, j'ai tenté de me tuer, ça n'a pas fonction. J'ai essayé diverses fois. Ça n'a jamais marcher. Le moment où ça pu fonctionner, on n'a pu me faire une transfusion de sang à temps. J'étais ravagé, je voulais mourrir plus que tout. Mon père m'a juré que j'aillais payer les frais médicaux et il me frappait encore. Il me disait ; si j'avais eu le choix, j'aurais dit à l'hopital de te laisser creuver plutôt que de te laisser vivre ! Je me répête souvent ces mots comme étant la preuvre de sa haine. Ça me fait toujours autant de peine. J'ai encore pleins de fissures, autant physique que psycologique. Il y a 8 mois, je suis allé vivre chez mon ami, j'ai rompu contact avec mes parents. Mais je me suis promis que un jour, j'aillais tuer mon père pour tout ce qu'il m'avait fait. C'est pour ça que depuis, je suis des cours de boxe et que je ne me laisse plus faire par personne.

Une larme coula sur ma joue.

- Entendre ma mère pleuré et crier à cause de mon père me fesait plus mal qu'autre chose. J'ai même souhaiter qu'il me frappe moi et qui laisse ma mère tranquil. Il a djà esseyer de lever la main sur moi mais je me suis enfuis. Je le détestais plus que tout mais au fond je l'aimais aussi. C'étais mon père.. J'ai esseyer de l'étouffer pendant qu'il dormait.. Sa na qu'empirer les choses.... m'enfin c'est du passé tout ça

- Ouais, mais toi au moins t'as pas pointer un flingue sur tes parents ! C'est ce que j'ai fais avant d'aller vivre chez mes parents. J'ai faillis les tuer, mais je n'en ai pas été capable. Pourtant, je regrette de ne pas l'avoir fait. En autant qu'on vivre le présent. Quand je suis avec toi, j'oublie toutes les souffrances que j'ai eu. Tu es la première avec qui cela se produit.

Je lui souria avec un sourire forcé.

- Ça fait du bien d'en parler...
Je l'embrassa et essuya mes larmes.
- Je t'aime! Je veux jamais te perdre.

- Moi non plus je veux pas te perdre.

J'accota mon front contre le sien.

- Tu veux que je te montre quelque chose ?

- D'accord.

De mes poches, je sortis un gun(fligue).

- Depuis tout ce temps, je l'ai toujours sur moi, je m'en suis jamais servis.

Je le bougea dans mes mains.

- C'est comme un viel ami démoniaque.

Je fis un sourire amusé.

J'avais horreur des armes.

- Euh.Okais..

- T'inquiète pas, je vais pas m'en servir contre toi.

Je le rangea.

- Je t'aime trop pour te faire ce genre de chose.

Je lui souris.

- Oui...Je sais..

Je l'embrassa.

Je la regarda, elle semblait... bizarre.

- Ça va ? Dis-je un peu inquiet.

- Oui , ça va. J'ai juste toujours eu peur de c'est truc. C'est tout, t'inquiete pas.

- Ah euh, désolé. Dis-je embarassé.

- Je voulais pas du tout d'effrayer.

- C'est pas grave..

Je la serra contre moi.

- Je t'aime.

- Moi aussi ^^

Je lui souria et metta ma main sur son genou.

- On fait quoi maintenant?

J'ai une idée, attend. Je passa ses jambes contre mon bassin et entoura mes bras autour d'elle, mes mains plassés sur ses omoplates puis, nous lança en bas. Après quelques secondes de chute, mes ailes nous envolèrent dans le ciel.

Je criais comme une folle x'D . Mais après quelques minutes je ferma les yeux et laissa le vent caresser ma peau. Je me sentais bien, libre. c'étais merveilleux.

- Attention, c'est là que les peurs vont débuter.

Je plongea directement dans l'océan Antlatique descendant dans les profondeurs de l'eau. On voyait des requins, des poissons tropicaux magnifique. Je remontais de temps en temps pour reprendre notre souffle puis, je finis par remonter prendre de l'air définitivement et monta dans le ciel pour toucher les nuages.